Qu’est-ce que le proscar et à quoi sert-il ?
Le médicament proscar est un médicament prescrit pour le traitement de l’hypertrophie bénigne de la prostate (hypertrophie bénigne de la prostate ou hypertrophie bénigne prostatique). Le proscar est un inhibiteur de la 5-alpha-réductase, c’est-à-dire que ce médicament empêche la conversion de la testostérone en dihydrotestostérone (DHT). La DHT est une hormone responsable de la croissance de la prostate. La DHT est également responsable de la croissance du tissu prostatique. Cette hormone est généralement produite naturellement dans la prostate.
Le proscar agit en bloquant l’action de la DHT et en favorisant la conversion de la testostérone en DHT. Le proscar est principalement utilisé pour le traitement des patients qui présentent une hypertrophie bénigne de la prostate. Le proscar est également utilisé pour le traitement de certains cancers de la prostate.
Quelle est la posologie recommandée pour le proscar ?
La dose recommandée pour le proscar est de 5 mg pris 3 fois par jour. Ce médicament ne doit pas être pris plus de 2 fois par jour et ne doit pas être pris plus de 14 jours. Le proscar est un médicament à base de finastéride qui ne doit pas être pris pendant plus de 3 mois. Les effets secondaires du proscar peuvent inclure des maux de tête, des troubles de la vision et une perte de cheveux.
Vous devriez consulter votre médecin avant de prendre ce médicament. Si vous avez des questions sur la façon dont le proscar peut affecter votre corps, parlez-en à votre médecin.
Le proscar est un médicament prescrit pour le traitement de l’hypertrophie bénigne de la prostate (hypertrophie bénigne de la prostate ou hypertrophie bénigne prostatique).
Indications thérapeutiques
- Prostatectomie radicale
- Anneau prostatique
- Endoprothèse
Le prostatectomie radicale consiste à retirer totalement ou partiellement la glande et le tissu prostatique du bassin. Les risques de rechute à long terme sont réduits grâce à cette intervention chirurgicale et à des traitements médicamenteux associés à une surveillance clinique régulière. Elle est souvent recommandée par le chirurgien pour traiter certains cas de cancer de la prostate.
L'intervention chirurgicale comporte une petite intervention endoscopique au niveau de la prostate, qui consiste en une excision large de la zone de la glande, suivie d'une excision large des tissus et d'une suture. Le chirurgien peut pratiquer une anastomose avec une prothèse urétérale ou vésicale pour prévenir des infections des voies urinaires.
L'intervention se déroule en deux étapes :
- une première partie de l'excision,
- une seconde partie qui consiste en l'ablation de l'endoprothèse.
Les avantages de cette intervention sont sa réalisation à distance, avec un minimum d'hospitalisation, et l'absence de traumatismes aux organes voisins. Son principal inconvénient est la nécessité de recourir à une deuxième intervention chirurgicale dans les quatre à six mois suivant l'intervention.
Contre-indications
Il existe des contre-indications strictes à la prostatectomie radicale :
- l'uropathie obstructive (insuffisance rénale ou hypertension artérielle) ou les tumeurs malignes de la prostate,
- la maladie de La Peyronie,
- l'hémophilie,
- le cancer de la prostate à évolution lente.
Avant l'intervention, le médecin traitant s'assurera qu'il n'y a pas de contre-indications à la prostatectomie radicale.
Prise en charge
L'intervention se déroule en plusieurs étapes. La première consiste en une résection de la prostate, suivie d'une incision de la vessie. Cette dernière permet de réaliser l'intervention endoscopique en une seule intervention.
Si vous présentez des contre-indications à la prostatectomie radicale, votre médecin vous prescrira des médicaments antisécrétoires pour aider à contrôler votre taux de prostate. Votre médecin vous donnera un traitement de fond, qui comprend des anti-inflammatoires et des antalgiques, et vous donnera des conseils nutritionnels.
La deuxième étape de l'intervention est l'ablation de l'endoprothèse. Cette opération se fait sous anesthésie générale ou locale selon le cas.
La troisième étape est l'ablation de l'urètre, qui est la voie principale de l'évacuation de l'urine. La prostate est donc éliminée par cette voie. L'urètre peut être retiré de façon classique, c'est-à-dire par une incision à la base du cou, ou au niveau de la base de la verge. Les options chirurgicales sont l'opération endoscopique ou l'opération par voie ouverte.
Le chirurgien vous fera signer une décharge avant l'opération, et vous recevrez des instructions préopératoires.
Les risques
Les risques spécifiques à la prostatectomie radicale sont :
- la sténose urétrale,
- la dysfonction érectile ou impuissance,
- le cancer de la prostate.
Vous aurez besoin de soins et de suivi réguliers pour prévenir ces risques après la chirurgie.
Suivi après intervention
Vous serez suivi pendant une période de six à huit semaines après l'intervention, puis quotidiennement. Il est important que vous suiviez votre traitement de fond prescrit par votre médecin. Le traitement de fond prescrit par votre médecin comprend des médicaments anti-inflammatoires et des antalgiques. Il est recommandé de consommer une alimentation saine et équilibrée et de faire de l'exercice régulièrement.
Une fois que la prostatectomie radicale est terminée, vous devrez être suivi par votre médecin pendant environ un an. Il vous prescrira des contrôles réguliers et vous proposera des programmes de réadaptation et de soutien personnalisés. Vous devrez peut-être modifier votre mode de vie en raison de la présence de l'endoprothèse. Il est essentiel que vous ayez une vie sexuelle satisfaisante après la chirurgie pour éviter une réapparition des symptômes de la prostatite.
Il est important que vous compreniez les effets secondaires potentiels de l'opération chirurgicale de la prostate et que vous preniez les mesures nécessaires pour les prévenir. L'ablation de l'urètre peut entraîner une incontinence urinaire et une difficulté à uriner. Il peut également y avoir une difficulté à uriner. Il est essentiel de consulter votre médecin avant de commencer un nouveau traitement de la prostate.
Si vous avez d'autres questions ou si vous avez besoin d'aide, vous pouvez contacter votre médecin.
Consultations
Le chirurgien vous prendra en consultation avant l'intervention chirurgicale. Vous devrez peut-être consulter votre médecin si vous présentez des symptômes inhabituels ou des complications après la chirurgie.
Traitements complémentaires
Une fois que vous aurez terminé votre programme de rééducation, votre médecin vous recommandera d'autres traitements complémentaires pour vous aider à éviter les symptômes de la prostate. Ces traitements complémentaires comprennent :
- la prescription de médicaments anti-inflammatoires et d'antalgiques à prendre par voie orale ou par voie injectable en cas de douleur et d'irritation musculaires ou de douleur musculaire ;
- la prescription d'un traitement de fond pour traiter les problèmes de prostate et maintenir une fonction de la prostate ;
- la prescription de médicaments contre la dysfonction érectile ;
- la prescription de médicaments pour soulager la douleur et le gonflement ;
- la prescription de médicaments contre la fièvre et l'inflammation.
Vous devez informer votre médecin de tout autre traitement que vous prenez actuellement ou que vous prévoyez de prendre, ainsi que de tout médicament ou traitement que vous avez déjà pris, et de tout traitement que vous pourriez envisager de prendre.
Consultation post opératoire
Si vous avez suivi le traitement de soutien prescrit par votre médecin, vous devrez passer un contrôle à l'hôpital au moins deux semaines après l'intervention. Il est important de rester actif et de faire de l'exercice régulièrement.
Le chirurgien vous donnera un rendez-vous de suivi deux à trois mois après l'intervention chirurgicale, puis une fois par an. Il est essentiel que vous ayez des soins dentaires réguliers et que vous suiviez les instructions de votre médecin.
Prostate et cancer de la prostate
Le cancer de la prostate est une maladie courante qui se développe lentement et qui peut être traitée efficacement.
Le cancer de la prostate peut survenir à tout âge et il est plus fréquent chez les hommes âgés. Les facteurs de risque comprennent l'âge, l'hérédité, l'obésité, une faible activité physique et la présence d'un diabète ou d'une maladie cardiovasculaire.
Les symptômes du cancer de la prostate peuvent être les suivants :
- douleur à la poitrine,
- difficulté à uriner,
- sensation de pression dans le bas du dos,
- apparition d'un écoulement de l'urine et de la difficulté à uriner.
Certaines personnes peuvent présenter un symptôme spécifique appelé « hyperplasie bénigne de la prostate », qui correspond à une augmentation du volume de la prostate.
Le cancer de la prostate
Le cancer de la prostate est le cancer le plus fréquent chez les hommes âgés de 50 à 79 ans. Il touche environ 1 homme sur 20.
Les symptômes du cancer de la prostate peuvent inclure :
- douleur dans la poitrine ou le dos ou difficultés à uriner,
- augmentation de volume de la prostate,
- problèmes de contrôle de la vessie ou difficulté à uriner.
Si vous présentez ces symptômes, vous devez immédiatement consulter votre médecin.
Il est essentiel que vous suiviez votre traitement prescrit par votre médecin, ainsi que des soins dentaires réguliers, et que vous fassiez de l'exercice régulièrement pour aider à prévenir la réapparition des symptômes.
Le dépistage du cancer de la prostate est un moyen de prévenir le cancer, mais il n'est pas nécessaire de le faire tous les ans.
Il est important de faire évaluer votre prostate régulièrement, car le cancer de la prostate peut être détecté à un stade précoce et peut être traité.